Un pas
de plus, merci Seigneur tu es formidable.
Toi
comme le potier tu nous as remodelé recréer pour vivre de toi en toi et en ton
amour.
Merci d'avoir été là, j'étais dans le gouffre
le plus profond, tu m'as relevé,
merci Seigneur Dieu vraiment
toi tu n'es pas comme les autres.
Tu ne
nous abandonnes jamais, jamais tu ne nous écrases, jamais tu ne nous juges,
jamais tu ne
désespères malgré nos rechutes.
Tu n'as
pas oublié, Jésus ton fils est passé par là, il est tombé avec la croix, heureux
est-il d'avoir dit oui,
tout simplement dit oui à l'aide de ceux qui ont eu
pitié de lui.
Aujourd'hui
lui qui est passé par là, il nous tend sa main. Il a pitié de nous. Prenons-la,
saisissons-la.
Et la
guérison sera en toi.
La
guérison oui mais laquelle ? Je crois que pour l’illustrer, le mieux est de
partir d’un exemple vécu :
Des
parents m’appellent pour que je vienne au secours de leur enfant.
Enfant né de malformation à la colonne, donc
dans une chaise pour la vie.
Les
parents savaient dès le début mais étant dans le respect pour la vie.
Ils ont fait un long parcours qui les a aidés
à les faire grandir.
A
l’adolescence plus rien ne va, refuse son handicap, et pendant plusieurs années
devient malade et personne n’en vient à bout.
Les
psychologues se fâchent, il refuse d’accepter son handicap, à la limite il est
coupable de son état.
Les parents demandent que je prie et que
j’impose les mains, ils ont confiance en moi.
Mais ce jeune est fâché, en colère, il accepte
étant très mal.
Et
pendant ma prière, que d’injures. Il fini par se calmer. Et malgré tout le Seigneur a opéré en lui.
Un
mieux de courte durée.
Peu après la rechute, tout le monde, même son
frère le pousse à m’appeler.
Il est mal, souffrant, résigné devant tous et
à la limite de la colère : « que veux-tu qu’elle fasse. »
Elle
n’est pas Jésus et me guérira pas.
Bien sûr j’ignore quand et comment Dieu va
opérer, j’ai confiance et m’abandonne à lui pour soigner ceux qui souffrent.
Enfin il m’appelle, mais pas convaincu,
n’ayant pas la foi de ses parents, il n’a que seize ans ?
Mais une amélioration, un calme en lui se fait
sentir, Dieu est bon et donne même à ceux qui ne croient pas.
Tous ses enfants il les aiment, plus d’un mois
a passé, j’étais en train de souper, le téléphone sonne :
c’est le jeune :
« le mal revient, viens prier sur moi. »
Je suis allée et j’ai senti sa confiance et
l’œuvre de Dieu en moi.
Le jeune s’est senti mieux, je l’ai vu plus
calme mais pas guéri.
Des
mois se sont écoulés, j’ai continué à le porter,
mais j’ignore ce que Dieu a fait.
Puis je reçois une carte choisie par lui avec
les psaumes et derrière une petite phrase :
« Jésus est passé dans tes mains
je suis guéri, loué soit Seigneur Jésus. »
Vous allez me dire il ne marche pas,
mais il n’est plus malade à en vomir.
Il croit en lui, j’ai beaucoup de plaisir à le
voir. La joie de vivre son handicap, mais plus comme avant.
Les
professeurs ne le reconnaissent pas. Il répond ne se laisse plus faire, refuse
tout mépris, se bat et
cette fois il était
même devenu le premier de classe. Pour moi c’est une guérison de cœur et
d’esprit.
Maintenant vous êtes libres d’y croire. Je
sais que la science émettrait des réserves.
Pour moi ce qui compte est le résultat
Il a retrouvé
la confiance la paix et joie dans une vie difficile. Dans un monde où la
différence dérange, gêne.
Beaucoup ont peur de ceux qui ne leur
ressemblent pas et les méprisent.
Je l'ai
dit : aux yeux de Dieu nous comptons tous sans exception, sans performance,
dans le monde
d'aujourd'hui ou seul le vainqueur à droit à une place et
ceux qui sont différents on les ignore, on les
insulte: ils ne comptent qu'aux yeux du Seigneur.
Dans une société de rentabilité, ils ne sont
pas rentables, dommage mais pas de pitié.
Dans un
monde d'argent, de pouvoir, personne ne se gênera pour vous le dire : sans
pitié.
Si vous
avez de la chance vous deviendrai assisté et vous devrez vous estimer heureux.
Je sais de quoi je parle, des exemples ils
n’en manquent pas.
Je
refuse de faire un procès à la société, moi-même accidentée, en droit puisque
j'étais à l'arrêt.
Mais vu mes antécédents l'expert ne s'est pas
gêné pour me dire que je ne valais rien.
Je ne
suis rien et tu n'as rien réclamé, ta souffrance ne sert à rien, personne ne
veut entendre et
si tu persistes en
voulant prouver quelque chose. Alors ils ajouteront que je suis débile ce qui
les arrange.
N'importe quoi. Heureusement que j'avais foi
en Dieu pour endurer tout ces crachas.
Mais je sais que beaucoup, chaque jour, chaque
nuit, des enfants, des femmes,
des hommes meurent
dans l’oubli de tous et sans tendresse, sans soin, sans pain quotidien,
croyez-moi j'ai fait l'expérience Dieu est mon rempart,
mon protecteur il m'aime telle que je suis.
Il me fait
grandir chaque jour de son amour infini.
Lui ne m'a jamais déçu, je lui obéi chaque
jour d'un amour plus grand.
Sincère, droit et juge conseillé en tout.
Demandé lui je vous le conseille, il est avec vous partout et
en vous, il rassure,
apaise et guéri tous nos maux à sa façon, à son heure et à sa volonté.
Que sa volonté soit faite sur la terre comme
au ciel. Amen. Merci mon Seigneur et mon Dieu.
Fin de la troisième étape.
Soyez dans le Christ ressuscité dans la joie
et l'espérance de son Amour.
Pour
l'étape trois, il est indispensable de lui faire confiance.
Ne
dit-on pas que si nous voulons guérir, de faire confiance en ceux qui nous
soignent, dans l'amour et sans intérêt.
L'amour du cœur qui nous aide à nous relever.
Et bien le Seigneur lui, peut nous guérir de
tous maux.
A nous de lui faire confiance de le laisser
passer en nous.
Pour
qu'il nous guérisse et nous soigne de son amour infini.
Lui qui nous a créé à son image et à sa
ressemblance.
Lui qui
nous a conçu dans l'amour.
Alors que l'enfant qui naît ne demande qu'à
être aimé, qu'à recevoir l'amour de sa mère et de son père.
Combien naissent sous une mauvaise
étoile !
Tous ne
sont pas égaux. Et certains ne seront là qu’un court passage.
Manque de chance ou ce qu'on veut. Tous ne grandissent
pas d'un même amour.
Il est
bon de savoir que Dieu existe et que lui nous aime tous sans exception.
A nous d'y croire, de lui faire confiance ou
de faire confiance en ceux qui nous portent.
Bien il faut du temps, la maladie la
souffrance est si souvent injuste.
Il faut
du temps quand notre corps est touché.
Il faut
voir en nous et cela n'est pas facile.
Dieu ne se manifeste pas toujours comme nous
le pensons.
Des
signes qu'il ne faut apprendre, à voir, à entendre.
La maladie, la souffrance fait de certains,
des êtres fermés qui ne voient plus les sourires
qui sont comme des
êtres éteins.
A nous chrétiens de rallumer sa petite lumière
pour qu’elle brille à nouveau dans l'amour du Jésus-Christ ressuscité.
L'amour guéri cela, prend du temps, soignez
votre source qui est en nous :
Comment voir étape 4